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 we were born sick (silas)

Cassandre Shelby
crimson pistols


Cassandre Shelby
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IN THIS HUMAN SKIN
I AM HALF WAR, HALF PEACE

☾ pseudo : morrigan / maryne
☾ avatar : Gabriella Wilde
☾ querelles : 1499
☾ destiny : 28/09/2017
☾ territories : le sud, toujours le sud. Elle y vit dans un petit appartement qui mériterait quelques travaux.
☾ relationship : ace, silas, blaze, circe, jezabel, ronnie, laz

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. ✦ ⊹ Dim 29 Oct - 14:46 ⊹ ✦ .


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WE WERE BORN SICK

Un simple message envoyé. Un message un peu désespéré pour que ça lui que tu contactes. Lui que tu continues de chercher. Sois à ton loft, à 19H. Stp c’est important. Il a pas d’autres choix que d’y être. T’as pas d’autres choix. Tu sais pas ce qu’il va aller s’imaginer avec ce message, surtout avec les derniers évènements. Il serait bien capable de croire que tu viens suite à votre dernière entrevue. T’y as bien pensé. Plusieurs fois. Tous les jours. La scène qui se rejouait en boucle dans ta tête. La sensation de ses lèvres sur les tiennes, son torse plaqué contre ton corps. Le danger, l’excitation, des souvenirs qui remontaient à la surface. Mais surtout tes reins qui te démangeaient. Tes reins qui se souvenaient. Tes reins qui se foutent bien de ce que ton cœur peut ressentir. T’as bien cru que t’allais céder. Tu l’aurais fait s’il y avait pas eu cette foutue descente. Leur descente. T’aurais craqué peu importe les conséquences. T’aurais recraqué malgré ta peur de lui succomber une nouvelle fois, comme avant, de te laisser prendre au piège. Alors peut-être que tu dois remercier la connerie des Capulet, leur manque de jugeote pour être venue vous attaquer. Une belle bande d’abrutis qui fonce tête baissée. Comme si vous aviez pu vous en prendre à une gosse. La flinguer, juste comme ça. T’es la première à dire que les gosses n’ont pas à payer pour les conneries de leur parent. Mais ces cons de Capulets et leurs putains sujets, ils sont descendus. Ils se sont sentis forts et surpuissants à envahir votre sud miteux, à tirer à tout va. Dent pour dent qu’ils disent. En temps normal, t’es pas franchement contre. Mais une gosse… Bande d’arriérés. Les balles pleuvaient, et se logeaient là où elles le pouvaient. Comme dans ton corps et ceux des autres. Une putain de balle. Perdue ou réellement destinée. T’es encore censée être à l’hôpital, mais manquerait plus qu’on t’y enchaine. T’as jamais supporté de rester cloitrée quelque part. Alors dans un lit qui te file des cauchemars, même pas en rêve. Seulement t’avais sous-estimé la douleur. T’avais pas imaginé que chacun de tes mouvements te rappelleraient que tu devrais être allongée, et pas derrière ton bar, à faire comme si c’était qu’une égratignure. Comme si cette balle n’avait fait que t’érafler. Les anti-douleurs, t’en as fait ton nouveau régime. Les pharmacies, tu les as dévalisé. Du moins jusqu’à ce qu’on te les refuse. Faut faire gaffe avec ça qu’ils disent. C’est pas eux qui ont un trou dans le corps qui essaie de guérir.

Peut-être que t’es suicidaire à te frayer un chemin dans le Nord seulement deux jours après. Ou peut-être que la douleur t’aveugle, et que le seul que tu connaisses à avoir un semblant de solution, c’est ton ex. Ou juste une putain d’excuse pour voir sa tête de con. La douleur doit te rendre dingue. Plus que d’habitude. Ouais, ça doit être ça. Mais t’as eu assez de neurones et de présence d’esprit pour éviter les grands axes, éviter les trottoirs un peu trop éclairés, ou de passer devant ces établissements qu’il t’est arrivé de trop fréquenter. Tu continues d’avancer, jusqu’à reconnaitre parfaitement les lieux. Tu passes la porte, montes rapidement les escaliers –autant que tu le peux à cause de cette douleur qui ne semble pas vouloir s’évanouir- et tu frappes à la porte. « Silas ! Ouvre ! » Pas besoin de préciser, s’il est bien là, il sait forcément qui se trouve de l’autre côté de la porte, à la tambouriner comme si sa vie en dépendait. C’est peut-être le cas. T’aurais presque l’impression, à l’heure actuelle, que les cachets qu’il peut t’offrir s’apparentent au Graal. Tu veux que juste que la douleur cesse. Juste un peu. Avoir la sensation que cette nuit là n’était qu’un putain de mauvais rêve. Mais lorsqu’il ouvre la porte, tu te demandes s’il va pas juste en profiter pour t’achever. Après tout, il pourrait bien être comme le reste de sa famille, à croire que la tienne éliminer une âme innocente, si tant est qu’il y en ait dans cette ville. « Tu te fais désirer en plus. » laches-tu dans un soupir, le regard encore en colère, dopé à l’adrénaline des jours précédents. La main sur ton flanc, tu l’obliges à reculer alors que tu pénètres dans ce loft que t’avais presque l’habitude de considérer comme ton deuxième chez toi. Presque.


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. ✦ ⊹ Jeu 2 Nov - 21:25 ⊹ ✦ .
Sois à ton loft, à 19H.
c'est le message qui s'affiche sur l'écran de ton téléphone. le numéro est enregistré, Cassandre Shelby. un sourire en coin traverse ton visage, et tu reposes l'appareil face caché sur la table en verre de ton salon. à côté de toi il y a une jeune femme, une de celles ramener du club. une groupie parmi tant d'autre, qui donnerait leur âme pour passer une nuit avec toi. et la petite chanceuse à même droit à une journée complète entre tes griffes. de quoi te changer les idées, panser à coup de reins les blessures du cœur et celles du corps. verre de bourbon sur verre de bourbon, trace de cocaïne qui s’enchaînent et quelques heures de baises entremêlé au reste. de quoi te remettre les idées en place, de reprendre le contrôle sur toi même, refaire surgir le fauve, l'animal indomptable. c'est tout ce que sera ta journée. rien de plus rien de moins, et si miss Shelby se pointe qu'il en soit ainsi. tu lui ouvriras surement la porte, ou tu feras le mort. tu n'as pas encore pris de décision. pour le moment t'es trop occupé avec Lila, ou Joyce, son prénom tu ne t'en rappelles même plus. tout ce qu'il compte c'est que ce soit le tiens qui apparaisse entre chacun de ses gémissements. il est dix neuf heure pile quand elle tambourine à la porte. t'es à poil dans ton salon, allongé sur le canapé, le corps de la femme écrasé sur le tiens. t'ouvres un oeil, pour le refermer aussitôt. mais elle continue la garce, elle frappe, elle cogne et maintenant elle hurle. alors tu te redresses, tu pousses le parasite qui colle à ta peau pour pouvoir enfiler ton boxer tranquillement. dégage. que tu grognes entre tes dents, mais elle reste là, allongée, impudique, jambes écartées, putain aguicheuse. allez ! tu soupires, mais elle ne bouge toujours pas. putain de sangsue. alors tu te diriges vers la porte d'entrée, tu l'ouvre à la volée, visage fermé quand tu poses tes yeux sur la fille Shelby. Tu te fais désirer en plus. t'as envie de lui refermer la porte sur la gueule, mais elle rentre dans le loft comme si tu lui avais invité et à cet instant tu aurais voulu qu'elle soit un vampire, pas d'invitation, pas d'entrée en force. j'suis pas d'humeur. que tu craches en claquant la porte derrière elle, alors qu'elle s'immisce dans ton antre. le lion voudrait protéger son territoire et il montre les crocs. sur ton torse il y a encore les plaies mal refermées qui feront des cicatrices abominables. marques d'une guerre que tu mèneras jusqu'au bout. des bleus sur les côtes, le cisaillement de la balle dans ton épaule, et dans ton dos, les griffures d'une nuit endiablée. t'as été marqué au fer rouge ce soir là. qu'est-ce que tu veux ? m'offrir ton cul ? que tu craches en passant devant elle pour rejoindre le salon et la pseudo-playmate affalé sur ton canapé, à qui tu signifies une nouvelle fois de partir. ou alors t'as besoin d'un truc ? t'arques un sourcil, tes yeux bleus se posent sur elle. tu sais qu'elle n'a pas été épargné par a soirée sanglante. les bruits courent vite à Night Vale, trop vite. tu la détailles, tu cherches les marques, mais il n'y en a pas de visible, seulement son visage plus tiré que d'habitude. son air plus sauvage aussi. un sourire en coin se dessine sur ton visage. je fais pas les présentation, une de vous deux va partir dans moins de cinq minutes. n'est-ce pas ? regard appuyé, blondie ou la brune ? peu importe, celle qui te fera le moins chier sera la seule autorisé à rester.
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. ✦ ⊹ Ven 3 Nov - 15:48 ⊹ ✦ .


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WE WERE BORN SICK

Silas qui ouvre la porte, Silas qui tire une tête de trois mètres de long. C’est pas comme si tu l’avais pas prévenu. Invitation ou non, tu rentres dans le loft, celui que t’as un peu trop bien connu et si peu oublié. « j'suis pas d'humeur. » C’est pas l’amabilité qui va l’étouffer. En même temps, t’es pas certaine de savoir à quoi tu t’attendais d’autre. « Parfait, moi non plus. » La porte qui claque derrière toi, et tes yeux qui se posent finalement sur son corps. Presque nu. Tu le détailles.Peut-être un peu trop. Tu vois ces marques que tu connaissais, certaines réellement déplaisantes, comme cette plaie fraîchement obtenue, et d’autres qui ont sans doute été plus plaisantes pour lui. Mais toi, ce genre de marques, ces griffures, ces rougeurs, elles te font déglutir difficilement. Tu les connais trop bien. T’as tenté de les ignorer pendant de longs mois. Il doit savoir à quoi tu penses, parce qu’il y a le silence qui se fait alors que tu continues de l’observer, de fixer chaque centimètre de son épiderme, avant que tes yeux ne soient attirées par une autre tête. Qu’est ce que je fous là ? C’est ce que tu te demandes, encore et encore. Des paupières qui se ferment doucement, la tête qui se secoue légèrement comme si t’avais du mal à y croire. En réalité, t’y crois trop bien. C’est le contraire qui aurait été étonnant. Pourtant, ça continue de te faire quelque chose même si ça te prouve que t’avais bien raison de mettre un terme à cette relation. Il aurait pas changé. Pas pour toi. Aussi déplaisant que ça soit, tu valais pas plus que les autres. Pas vraiment. Pas assez pour qu’il arrête ses putains de conneries. C’est sa voix qui te sort de ta contemplation, entre sa bimbo nue, et son corps à moitié nu qui te replonge un peu trop loin dans tes souvenirs. « qu'est-ce que tu veux ? m'offrir ton cul ? » la mâchoire qui se serre, la colère qui revient, parce que tu te sens coupable. Coupable de bien y avoir pensé. Même dix secondes. Dix secondes de trop. Assez conne pour le désirer une nouvelle fois, assez naïve pour t’y abandonner. Mais le voir là, avec sa pute de bas étage sur le canapé, à peine rhabillés, ça te blesse encore. « Pour que tu tapes une pute de plus trois heures après ? Je vais passer mon tour. » Plus les secondes passent, plus tu te sens mal. Pas seulement à cause de ta blessure ou de la fatigue, mais à cause de lui, à cause de ce spectacle aussi ridicule que pathétique. Et la décérébrée qui ne bouge pas. Tu te demandes ce qu’elle attend. Que tu te dépêches de lacher la raison de ta présence pour qu’elle puisse lui remonter dessus ? Non, t’es prête à parier que c’est plutôt qui la prend comme il l’entend, et pas l’inverse. « ou alors t'as besoin d'un truc ? » Tu fronces les sourcils. Une question loin d’être innocente. C’est pas s’il était habitué à ce que tu viennes lui demander ce genre de choses. Tu lui as jamais demandé ces merdes que produisent en masse sa famille. Ouais, un rail de coke ou deux de temps à autre, que vous aviez partagé, mais pas de foutues pilules aux effets encore mystérieux. Son regard sur ton corps, en plus de le remarquer, tu le sens encore plus. Un regard presque dérangeant, comme si t’étais mise à nue. Un soupir qui s’échappe de tes lèvres alors que la playmate se décide en fait à remettre ses sous-vêtements. Et seulement ses sous-vêtements. Rien de plus. « je fais pas les présentation, une de vous deux va partir dans moins de cinq minutes. » Tu le sens, ton cœur qui s’emballe sous la colère. Peut-être encore aussi sous le coup de la jalousie. Un putain de désir de possessivité malsain. Un sentiment que t’es plus en droit d’exprimer. T’en as peut-être même jamais eu le droit. Même ensemble, il t’échappait. Il revenait, mais peu importe tes sentiments, peu importe ce que tu désirais, il continuait de s’échapper. Alors ta possessivité, elle lui passait sans doute bien au-dessus. Au plus, elle devait sans doute flatter son putain d’ego, la seule chose qui semble avoir un semblant d’intérêt à ses yeux. Mais il a raison. Y’en a bien une de vous deux qui va partir dans moins de cinq minutes. C’est d’un pas décidé que tu vas vers sa groupie en l’attrapant sans délicatesse par le bras, et récupérant ses fringues par terre. Tu prends pas la peine de vérifier si tout y est. Qu’elle se trimballe à poil ou avec ses fringues, t’y vois pas de grosses différences. « Allez, dégage. Ma patience s’est envolée. » laches-tu, les dents serrées, en la projetant légèrement vers l’avant. Le mauais côté de Cassandre Shelby. Jalousie et possessivité, dans un corps un peu trop angélique. La Shelby un peu trop caractérielle et sauvage qui reprend le dessus. Celle qu'il faut pas faire chier. Une main dans son dos, tu continues de la pousser alors qu’elle jette des regards aussi désespérés qu’interrogateurs. Rêve pas chérie, c’est pas le prince charmant, il va juste te regarder partir. Une main sur la poignée pour ouvrir la porte, ses fringues jetés en boule sur le seuil, et un sourire forcé sur les lèvres. « bonne soirée. » tu l’entends pester, mais elle est déjà dehors, la porte claquée sur sa gueule alors que tu te retournes vers ton ex, en expirant profondément avant qu’un rire nerveux ne s’échappe de ta bouche. L’agacement, la frustration, la douleur autant physique que celle du cœur, peut-être les nerfs qui lachent avec. « Toujours les mêmes conneries, hein. » C’est même pas une question, juste une triste constatation. Un nouveau soupir, las cette fois, mais qui conclue cette brève parenthèse. T’es pas venue là pour ça. Ca ferait que te fatiguer un peu plus. Personne ne change Silas Capulet. « J’suis là pour des anti-douleurs. J’tiens plus. » Tu déboutonnes les trois boutons du bas de ta chemise, pour lui montrer le souvenir cuisant du règlement de compte à la Night Vale. « C’est ça que tu cherchais tout à l’heure ? » non pas que ça doit beaucoup l’inquiéter. « T’es le seul que je connaisse qui pouvait en avoir des plus puissants que ce que j’trouve actuellement. » Des trucs de merde, peu forts, que tu trouves dans la pharmacie du coin. D’un signe de tête, tu désignes sa blessure par balle, témoin marquant d’une nuit agité dans le désert. « C’est pas passé loin non plus visiblement. »


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