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 she is a devil in between the sheets (amar)

Maé Capulet
https://shotatthenight.forumsrpg.com/t1257-mae-these-violent-del
capulet


Maé Capulet

☾ pseudo : midnight
☾ avatar : e. watson
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☾ destiny : 28/02/2018
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bang bang
. ✦ ⊹ Lun 12 Mar - 21:40 ⊹ ✦ .

she's a devil in between the sheets
And there's nothing she can do about it


« sale garce. » chevelure attrapée par l’arrière. un léger cri qui s’échappe de tes lèvres. surprise, étonnement. une once de peur que tu n’oseras pas avouer à voix haute. une main qui vient te pousser rapidement en avant. ton corps, pantin pendant quelques secondes que tu ne contrôles plus. à peine stable sur tes talons aiguilles, tu manques de chuter. une main sur ton ventre sans trop savoir pourquoi. instinct protecteur alors qu’il n’y a rien. absolument rien à protéger. et ça pour toujours. tes yeux qui vacillent sur ton homme de main. henri. celui qui tuera, tortura, mourra pour toi. règles écrites noires sur blanc dans son contrat. confidentiel, secret, officieux. son rôle qui est simplement de te garder en vie. dans n’importe quelle situation et à n’importe quel prix. même en échange de sa vie. ses bras qui viennent briser celui de ton attaquant. son visage qui se fige de douleur. un craquement d’os qui se fait entendre. une intense satisfaction qui glisse sur tes traits. henri le menace de le tuer et lui dit de courir vite s’il veut garder la vie. et il fuit. la queue entre les jambes, la peur aux tripes. et toi, tu te recoiffes. doucement, calmement. ta prestance intacte. ton visage froid, impassible comme toujours. tu ne laisses pas supposer une seule seconde que tu viens d’être victime d’une attaque à la sortie de ton bureau. à quelques pas du siège de l’industrie. rien. tu es digne et tu reprends la direction de la berline sans un mot. henri, suffisamment habitué à ta présence, en fait de même. tu tends une pochette plastique à ton garde du corps, il vient y glisser la chair arrachée qui traine sous ses ongles. trace encore fraiche du suicidaire qui a osé s’en prendre à toi. il vient officiellement de signer son arrêt de mort et tu ne peux qu’être satisfaite et rassurée de le savoir mort au plus tard demain. les yeux rivés sur ton téléphone pendant le trajet, tu vérifies tes mails et tes derniers rendez-vous. la mairesse qui te relance pour une réunion à laquelle tu ne souhaites pas aller. et tu te dis que tu pourras probablement convaincre ta mère d’y aller. le tourner pour qu’elle pense  qu’elle est la personne indispensable attendue. impensable de lui montrer que tu lui donnes tes miettes. henri qui t’ouvre la portière, tu sors sans même le regarder. tu entres dans la villa et tu pars à la recherche de ta génitrice. t’es déjà sur les nerfs avant même d’arriver à son bureau. cette angoisse qui te bouffe dès qu’il s’agit de lui faire face. ta confiance en toi qui chute dangereusement à chaque pas que tu fais. la jeune femme de vingt-sept ans qui laisse place progressivement à la petite fille intimidée. porte entrouverte. voix audibles. tu fronces les sourcils. elle n’est pas seule. et tu t’apprêtes à repartir. ne pas la déranger quand elle est en rendez-vous. l’une des règles fondamentales de la ruche. sauf que non, tu ne peux pas. tu reconnais sa voix à lui. amar. et tu brûles de le savoir ici, avec elle. sans toi. ils n’ont rien à faire ensemble. aucune raison évidente qui te saute aux yeux. tu ne comprends pas. alors ta main délicate vient pousser la porte pour l’ouvrir complètement. tu t’avances à l’intérieur du bureau. un pas à peine. tes yeux bloqués sur la scène. ta génitrice, fesses sur le devant de son bureau, jambes bien trop écartées pour une réunion officielle. les doigts qui glissent sur la cuisse du prince, assis conformément dans un fauteuil en face de lui. la rage qui te prend aux tripes. cette jalousie envers elle. enfouie, opprimée. « J’espère que je ne dérange pas. » que tu dis avec un sourire bien trop large pour qu’il soit vrai. tu t’avances vers eux. ton regard qui glisse sur les doigts de ta génitrice sur sa cuisse à lui. ton prince qui semble succomber à la reine. ce ne serait pas le premier. et il te déçoit presque. tu le pensais différent. tu viens attraper le dossier posé sur le bureau. probablement l’objet de leur discussion. tes mots. tes mots sur papier. ton idée, ton projet. et tu te tournes directement vers lui. sans un regard pour ta génitrice. tu sais très bien que tu n’auras pas le droit à la vérité de sa part. elle est bien trop sournoise, la reine des abeilles. « Elle t’a fait venir pour ce projet ? Celui dont je t’ai parlé ? » la colère qu/i glisse dans ton ton. tu essayes de garder le contrôle. mais elle te met à l’épreuve. encore une fois. et t’es perdue. « Maé laisse-nous. Monsieur Ben Zahed allait signer. J’ai eu de très bons arguments pour le convaincre. » sa voix autoritaire quand elle s’adresse à toi. celle que tu as toujours connu. ce ton adressé uniquement à ses enfants et à ses sujets. et une voix beaucoup plus mielleuse quand elle parle de son invité. une envie de vomir qui te prend. tu déchires les papiers. un à un. élan de colère. caprice public. et tu ne réfléchis pas à sa présence à lui. pas de suite. l'esprit beaucoup trop embrouillé par ta mère. elle, elle, elle. « C’est mon projet, mon idée. Tu n’as pas le droit !» tes mains qui tremblent. ta voix hésitante, brûlante. le regard fuyant et sombre. tu perds pied, maé. tu ne contrôles plus.  
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bang bang
. ✦ ⊹ Lun 12 Mar - 23:00 ⊹ ✦ .
un rendez-vous de dernière minute. un appel surprenant.
Madame Capulet, en personne. une affaire urgente visiblement et ta venue lui serait d'une grande aide.
alors tu n'as pas réfléchi plus que ça, t'as annulé tes occupations pour la fin de la journée et tu as demandé à ton chauffeur de te déposer devant la porte principale de la célèbre villa Capulet. quelques marches à gravir et c'est un domestique qui te tenait la porte. quelques minutes plus tard tu te retrouves dans le bureau de la reine des abeilles. très vite elle s'avance vers toi, te tend une main que tu serres avec vigueur. elle te salut comme il se doit, te montre qu'elle sait qui tu es et d'où tu viens. tu en fais de même, la flatterie comme meilleure arme. elle te demande de prendre place et tu t’exécutes, sur un fauteuil de maître en face de son bureau. entre ses mains elle tient un dossier qu'elle te tend, et que tu feuillettes avec attention. un projet de réhabilitation, qui ne t'es pas inconnu. bien au contraire. c'est sa fille qui t'en a parlé la première, lors de votre première entrevue et durant les autres qui ont suivi. les soirées que vous avez partagé autour de dîners délicieux. mais il ne semble pas avoir l'ombre de Maé dans les parages, ni de loin, et encore moins de près. tu poses le dossier sur l'angle du bureau, tes yeux clairs rivés sur la reine. pourquoi signerais-je ? demandes-tu passant une main distraite dans ta barbe. et les éloges commencent. la femme sait y faire, te brosse dans le sens du poil. parle de ton père, et de tes frères avec qui elle a déjà fait affaires des années auparavant. essaye de te vendre les atouts d'un projet qui ne lui appartient pas. très vite elle fait le tour du bureau, pose ses fesses sur celui-ci pour se retrouver un peu plus proche de toi. tes yeux parcourent son corps parfaitement bien dessiné grâce à sa robe de couturier, ses jambes élancés qui se croisent et se décroisent dans un ballet qui semble répété depuis des années. elle joue la carte du charme, celle à laquelle les hommes de ta famille ont du mal à résister. mais tu n'as rien à voir avec eux. c'est pour ça que c'est toi qui opère ici depuis quelques temps maintenant. mais tu la laisses faire, sourires toujours fixé sur tes lèvres alors qu'elle se fait plus tactile. votre conversation tourne vite en rond, mais très vite tu te rends compte que son intérêt s'est envolé ailleurs, sur ta peau halé, sur tes yeux émeraudes et sans doute sur ce qu'elle s'imagine d'une soirée en ta compagnie. J’espère que je ne dérange pas. la voix de Maé se fait entendre, tu relèves les yeux, ton visage se tourne vers elle et tu vois son visage crispé malgré le sourire qu'elle arbore. faux. Elle t’a fait venir pour ce projet ? Celui dont je t’ai parlé ? oui, il faut croire. tu ne mens pas, les preuves se trouvent sous ses yeux. Maé laisse-nous. Monsieur Ben Zahed allait signer. J’ai eu de très bons arguments pour le convaincre. la mère s'est redressée, a recroisé ses jambes et toise sa fille comme si elle en'était qu'une gamine de six ans. un rictus se dessine sur tes lèvres. je n'ai pas encore donné de réponse. affirmes-tu alors que tes yeux suivent la princesse. elle déchire les papiers un à un dans une rage sourde qui ne te laisse pas de marbre. C’est mon projet, mon idée. Tu n’as pas le droit ! tu sens le désarroi dans sa voix, ses mains tremblent et les bouts papiers s'échouent vulgairement entre le sol et le bureau. Maé, voyons, devant notre invité de marque.[/color] lance sa mère alors que tu deviens spectateur d'une entrevue qui ne te concerne plus. [b]reste avec nous si tu y tiens, et si tu penses mieux vendre ce projet, je t'en prie ! son ton est condescendant et elle quitte le bureau pour prendre place sur l'accoudoir de ton fauteuil, une nouvelle façon de marquer un territoire qu'elle convoite. je vous assure, que votre fille sait y faire. je n'ai pas besoin d'en entendre plus, mais si je dois signer ... ton regard passe de l'une à l'autre. et tu te redresses, défroissant ta veste par la même occasion. ce ne sera pas avec vous. du moins, pas maintenant. ni avec l'une, ni avec l'autre. j'ai besoin d'un meilleur visuel sur les bénéfices à courts termes. une façon de monter qu'aucune des deux ne t'as convaincu, peu importe les arguments avancés.
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. ✦ ⊹ Mer 14 Mar - 23:03 ⊹ ✦ .

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ces sentiments si contradictoires qui t’envahissent alors que tu t’apprêtes à aller à la rencontre de ta génitrice. ta propre mère qui te fait cet effet-là. malgré les années. malgré les liens du sang. cette assurance qui faiblit à chaque pas qui t’amène jusqu’à la porte de son bureau. ce visage si froid et si intimidant qui se fissure silencieusement. pourtant tu veux y croire. tu veux penser que tu peux lui faire face de la même façon que tu le fais avec les autres. aisément. ceux dont tu ne redoutes pas leur réaction. ceux dont l’avis t’importe peu. ceux qui ne changeront rien à ton destin et qui pourront te haïr autant qu’ils le veulent. et elle est là la différence. cette minuscule étincelle qui la rend si importante à tes yeux. ce pouvoir qu’elle a sur toi. même maintenant. pourtant tu es son bras droit, tu es reconnue dans la ville entière. ton prénom qui brûle sur beaucoup de lèvres. pas toujours sous forme de compliments mais ça, ce n’est qu’un détail. ta génitrice a encore bien trop de pouvoir sur toi, ton existence, ta vie. et quoi qu’il arrive, tu sais qu’au fond elle sera toujours là. jamais loin. telle une ombre qui vient te rappeler que tu n’es personne sans elle. une voix autoritaire qui te fait comprendre que tu dois prendre telle décision plutôt qu’une autre. et t’es prête à repartir quand tu comprends qu’elle n’est pas seule. tu as bien vite appris qu’il ne valait mieux pas l’interrompre pendant ses rendez-vous. mais cette fois, tu reconnais la deuxième voix. celle que tu côtoies depuis quelques semaines. celle que tu essayes d’apprivoiser doucement. et dans un élan non rationnel, tu pousses la porte pour y faire ton entrée. tu ne perds pas de temps pour faire une remarque. sans doute que tu les déranges. tant mieux. l’idée de savoir ta génitrice avec le prince te bouffe de l’intérieur. comme s’il était un précieux joyau que tu souhaitais garder, égoïstement. tu ne veux pas qu’elle se l’approprie. son nom, sa présence, son image ou même sa signature. une compétition silencieuse qui s’installe entre vous. comme toujours. « Oui, il faut croire. » une sincérité accablante qui glisse sur ses lèvres à lui. et tu as presque envie de le remercier de ne pas prendre son parti, de ne pas essayer de cacher ce qu’il se passait ici avant que tu arrives. pas besoin de mentir. tes yeux sur les papiers. tout est là. tout est écrit. ta mère ne peut pas le nier. alors elle essaye de se débarrasser de toi. comme toujours. elle te regarde de travers. elle te fait comprendre que tu gênes. cette arrogance digne des capulet qui pourrait presque te faire te sentir de trop. la voix rauque du prince qui s’immisce.  « Je n’ai pas encore donné de réponse. » soulagement. rien n’est fait. rien n’est fixé. tu es arrivée à temps. elle n’a pas gracieusement volé ton projet. pas cette fois. tes doigts qui viennent déchirer le dossier. sans aucun état d’âme. sans aucune honte sur le spectacle que tu mets en scène devant un public peu averti. et probablement que tu t’en voudras après. de ne pas avoir su rester impassible. de l’avoir laissé t’atteindre si vite, si facilement. quand tu te rendras compte que les yeux du prince sont sur toi. mais tu ne raisonnes pas. tu as sur la colère, la frustration, la colère. contre elle. juste elle. ses manières, son arrogance et son pouvoir. celui que tu convoites tant. tu perds doucement pied. ton corps qui réagit seul sans que tu puisses contrôler quoi que ce soit. « Maé, voyons, devant notre invité de marque. Reste avec nous si tu y tiens, et si tu penses mieux vendre ce projet, je t’en prie ! » tes yeux qui glissent sur amar. une prestance que tu essayes de retrouver. ton regard que tu viens de nouveau froid. ta génitrice qui vient se glisser sur l’accoudoir du fauteuil. tes poings que tu viens serrer le long de ton corps. tu souffles faiblement. tu ne peux pas la laisser gagner. tu ne peux pas passer pour la fille capricieuse et insolente. pas devant lui. « Je vous assure, que votre fille sait y faire. Je n’ai pas besoin d’en entendre plus, mais si je dois signer… Ce ne sera pas avec vous. Du moins, pas maintenant. » un sourire à peine visible qui glisse sur tes lèvres. une satisfaction qui te redonne confiance. ta mère qui fronce légèrement les sourcils. probablement qu’elle ne s’attendait pas à ça comme réponse. le prince, debout. une distance entre ta mère et lui que tu apprécies. « J’ai besoin d’un meilleur visuel sur les bénéfices à courts termes. » qu’il ajoute. un sérieux et un professionnalisme que tu lui envies sur l’instant. tu as l’impression d’être bien loin de cette image-là. alors tu t’approches de lui. ta main qui vient se poser sur son bras. ton regard qui vient défier celui de ta mère. « Je peux finir ce rendez-vous, maman. » que tu lui assures avec un ton franc. contrôle à l’extérieur. panique à l’intérieur. elle hoche la tête. vexée de cette entrevue. vexée de la tournure de cette conversation. « Ne vous attendez pas à des merveilles avec elle, Maé a encore beaucoup à apprendre. Elle n’a pas acquis assez d’expérience dans ce domaine. » qu’elle lance sèchement. cette méchanceté qu’elle glisse à ton égard. « Ce n’est encore qu’une enfant bien trop capricieuse. Tu es ridicule, Maé, à faire une scène devant notre invité. » t’es frigide face à elle, face à son comportement. tu refuses de t’y abaisser. t’en es incapable. incapable de répondre. incapable de faire quoi que ce soit. tu la regardes repartir. le bruit de ses talons qui raisonne dans ton esprit. porte qui se referme derrière elle, ta main qui quitte son bras. tu te recules, comme brûlée de ce contact que tu as pourtant initié. tu es de dos à lui. tes poings que tu serres. tes ongles qui rentrent dans ta chair. ta respiration bien trop rapide. « Va t’en. » que tu lui siffles. ta voix qui tremble. ton corps qui semble céder. trop de pression, trop de colère en toi. impossible d’évacuer s’il est là. tu as juste une envie folle d’exploser. « Laisse-moi. »  tu insistes. le détresse qui se fait entendre dans ta voix. il faut qu’il parte. tu ne peux pas le laisser te voir dans cet état-là. si fragile, si vulnérable. « On en reparlera.. un autre jour.. » tes mains que tu poses sur le rebord du bureau. le sang à l’intérieur de tes paumes. tes yeux fermés. t’essayes de faire bonne figure. t’attends juste désespérément que la porte s’ouvre et se referme de ton dos.

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. ✦ ⊹ Dim 18 Mar - 13:43 ⊹ ✦ .
la compétition, c'est le domaine dans lequel tu as baigné depuis ton enfance, jusqu'à maintenant encore.
toi, le dernier garçon d'une fratrie de sept enfants, cinq frères pour deux sœurs. tu as toujours été le petit dernier, celui en qui l'on n'a pas confiance. celui qui doit faire ses preuves en permanences. alors tu comprends sans doute plus qu'elle ne le pense sa réaction à Maé. son comportement d'enfant trop gâtée par la vie, qui l'a beaucoup moins été par une mère voulant toujours briller plus fort. c'est pour cette raison que tu te redresses, que tu déclines avec politesses les avances à peine cachés de la reine Capulet. je peux finir ce rendez vous, maman. et ce serait avec une joie immense que tu aimerais te retrouver seul avec la fille. Ne vous attendez pas à des merveilles avec elle, Maé a encore beaucoup à apprendre. Elle n’a pas acquis assez d’expérience dans ce domaine. Ce n’est encore qu’une enfant bien trop capricieuse. Tu es ridicule, Maé, à faire une scène devant notre invité. c'est un fait, elle a sans aucun doute raison. mais l'expérience ne vient qu'en s’exécutant. alors tu gratifies la femme d'un signe de tête, tu l'observes quand elle s'éloigne. ses talons qui chantent son départ sur le carrelage. et la princesse se détache de ton bras pour te tourner le dos. Va t’en. t'arques un sourcil, la tête légèrement tourné vers elle. ses poings sont serrés et tu peux lire la tension sur chacun de ses muscles. Laisse-moi. elle s'impatiente, mais tu n'as toujours pas bougé. tu restes observateur. On en reparlera.. un autre jour.. tu pourrais accepter, tourner les talons et appeler ton chauffeur pour qu'il vienne te récupérer. mais tu n'en fais rien. au contraire, tu t'approches un peu plus d'elle. on est pas obligé, d'en reparler. ce n'est pas le sujet principal de vos conversations. tu t'approches encore. tes deux mains viennent se poser sur ses épaules avec fermeté. il ne faut pas te mettre dans des états pareils. le vouvoiement n'est plus de mise entre vous depuis le deuxième rendez-vous. tu es sincère dans tes paroles. je ne comptais pas signer, tu le sais. tes doigts glissent lentement le long de ses bras, t'apprécies le contact que tu inities. vous ne vous êtes pas réellement rapprochés depuis votre premiere entrevue. tu es resté tel que tu es en apparence, agréable et bien élevé. tu lui as fait livrer des fleurs, tu as envoyé ton chauffeur la récupérer pour des dîners dans des restaurants hors normes. vous avez discuté longuement, de vos boulots respectifs, de vos vies respectives. tu t'es montré des plus charmants et tu continues sur cette voie là. alors tu romps le contact et tu laisses ton cul se poser sur le rebord du bureau, pour que tes yeux puissent s'attarder sur son visage crispé. il n'est pas bon que tu te mettes dans des états pareils. c'est tout ce qu'elle cherche Maé. son prénom roule sur ta langue avec élégance, et tu te penches en arrière pour capter son regard fuyant, comme celui d'un enfant. comment pourrais-je faire renaître ton sourire ? t'arques un sourcil. tu as compris déjà, que tu ne peux rien lui imposer. que c'est elle qui instaure les règles dans cette relation qui prend forme au jour le jour.
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. ✦ ⊹ Dim 25 Mar - 23:29 ⊹ ✦ .

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ça aurait été plus intelligent de ta part de partir. ne pas te glisser dans cette pièce, dans cette discussion. elle n’était pas là ta place. pas ce soir. tes yeux sur ta génitrice. tu prends le temps de tout regarder, tout analyser. t’as besoin de connaitre les règles du jeu. et comme à chaque fois, tu dois les comprendre seule. ta mère qui porte son masque de reine des abeilles à la perfection. la reine qui butine, la reine qui négocie, la reine qui séduit. sa main qui envahit la cuisse du prince. ton prince. son mépris pour toi qui ne tarde pas à montrer le bout de son nez dès que tu oses élever la voix. elle te fait passer pour la gamine capricieuse que tu n’es pas. tu ne l’es plus. tu es bien trop raisonnée maintenant pour oser l’être. et quand tu exiges quelque chose, tu es en droit de le faire. parce-que tu es une capulet ou alors parce-que tu es maé. en général il s’agit de l’une de ces deux raisons. comme là. maintenant. il s’agit de ton projet, ton idée. c’est impensable pour toi de la laisser gagner, de laisser son venin apposer sa signature à coté de la sienne à lui. elle n’a rien à y faire là. absolument rien. ce contrat qui ne verra pas le jour sans ton accord. puis la séductrice qui prend le dessus. son corps élancé à en rendre plus d’une jalouse qui s’installe contre lui. bien trop proche. bien trop dangereux. et tu refuses de les imaginer intimes. non, pas lui. elle ne peut pas avoir glissé sous ses draps. tu ne le supporterais pas. pas cette fois. il est… différent. et tu sais pas où ça mènera mais tu ne veux pas qu’elle ait tout bousillé avant même que tu te sois réellement laissée approcher. puis la discussion qui semble venir à son terme. ta place contre lui. ta main sur son bras. geste légèrement possessif. ton regard ancré dans celui de ta génitrice. tu veux juste la voir fuir. elle ne le fait pas sans glisser des reproches qui riment avec humiliation. porte qui se ferme. ton corps que tu dégages du sien. pas en arrière. perte de contrôle. tes ongles qui glissent dans la chair de tes paumes. respiration rapide, saccadée. tu siffles. tu lui dis de partir. tu ne peux pas lui faire face. pas maintenant. tu ne peux pas le laisser te voir comme ça. tes nerfs qui lâchent. l’agression à la sortie du bureau, la main de ta mère sur sa cuisse, les mots brûlants de la reine qui sifflent encore dans tes oreilles. ta voix qui vrille. frigidité et autorité qui laissent place à une vulnérabilité qui te consume. sans pouvoir rien faire. sans pouvoir exploser tranquillement. tu sens son regard, son ombre derrière toi. et tu sais pas ce que tu espères au fond. qu’il cède ? qu’il te tourne le dos et te laisse gérer toutes ces émotions seule comme tu le fais d’habitude ? ou alors qu’il reste ? qu’il essaye n’importe quoi pour t’apaiser ? sentiments contraires. ton esprit qui prend feu silencieusement. tes lèvres que tu viens mordre avec ta dent. tu brûles. tu te consumes. la colère qui glisse dans tes veines. ton corps qui lâche sans que tu aies un quelconque pouvoir dessus. et un souffle qui s’échappe de tes lèvres quand tu le sens se rapprocher de toi. peut-être que c’est ça dont tu avais besoin. sans même le savoir. ne plus être seule. ne plus te battre dans le vide, contre tes démons. « On est pas obligé, d’en reparler. » sa voix rauque dans ton dos. tes yeux toujours fermés. tes mains contre le rebord sur le bureau. tes paumes légèrement ensanglantées. ses mains qui se posent sur tes épaules. tu frisonnes faiblement. ton corps qui semble se rattacher à cette ancre. ses mains. le seul moyen de ne pas perdre pied. « Il ne faut pas te mettre dans des états pareils. » qu’il dit sincèrement. et tu sais qu’il a raison. d’habitude tu ne t’abaisses pas à ça. t’es bien plus forte. tu n’es pas aussi facilement affectée. « J’ai eu une dure journée. » que tu lâches dans un souffle. une excuse qui ose s’échapper. des mots qui ne sortiraient jamais de ta bouche normalement. tu ne te plains jamais. tu ne supportes pas de déléguer. tu préfères tout faire seule. t’es sûre que ce sera mieux fait. mais pourtant tu t’avoues presque à demi-vaincue. faiblement. sans réellement assumer tes mots. « Je ne comptais pas signer, tu le sais. » ses doigts qui glissent lentement contre tes bras. ton corps qui se plie doucement contre ses gestes. tu te détends paisiblement. toujours avec retenue. sans cesse. t’es incapable de te laisser complètement aller. et ses mots te rassurent. ça t’apaise de te l’entendre dire. « Mais elle avait de bons arguments pour te convaincre de signer mon projet. » amertume sur la langue. une colère en ombre de tes mots. et peut-être que c’est un léger reproche pour lui. de s’être si facilement laisser amadouer, de s’être laissé charmer. par ta propre mère. puis sa présence qui s’éloigne. cette solitude que tu retrouves bien trop vite. tu le vois se poser sur le rebord du bureau. ses yeux sur toi. tes mains que tu viens frotter l’une contre l’autre pour y enlever les quelques traces métalliques. tes doigts qui glissent dans tes cheveux. t’essayes de retrouver de la contenance. t’essayes de retrouver ton allure habituelle. cette force qui s’émane de toi. « Il n’est pas bon que tu te mettes dans des états pareils. C’est tout ce qu’elle cherche Maé. » n’importe qui aurait osé te dire ce genre de choses, tu aurais sorti les griffes. impensable que quelqu’un ose te remettre doucement à ta place. mais il est toujours aussi sincère. une sincérité qui glisse avec douceur, avec facilité. ton prénom qui roule sur sa langue et tu aimes beaucoup trop ce son. son accent qui te donne des envies d’ailleurs. alors tu relèves la tête. tes yeux qui trouvent les siens. ta vulnérabilité qui s’éloigne doucement. ton corps qui est de nouveau le tien. celui que tu contrôles. tes émotions qui disparaissent. la colère, la jalousie, la rancune. « Comment pourrais-je faire renaitre ton sourire ? » tu t’avances vers lui. tes doigts sur le bureau alors que tu viens poser tes paumes sur sa cuisse pour te lover entre ses jambes. toi aussi tu sais séduire. toi aussi tu sais charmer. tes doigts qui remontent sur sa cuisse. lentement. tes yeux plantés dans les siens. « Redis mon prénom. J’aime l’entendre de ta bouche. » tu souffles faiblement. ton visage qui n’est pas très loin du sien. il suffirait de pas grand chose pour que vous vous embrassiez. pour la première fois. et sans doute que tu en as envie. tes doigts qui remontent le long de son torse, au dessus de sa chemise. tu viens jouer avec le dernier bouton renfermant le tissu. et ce serait si simple de te pencher et de goûter à ses lèvres. si tentant aussi. « Pourquoi tu n’es pas parti ? Je te l’ai demandé. Plusieurs fois. » tu lui dis sans aucun ton autoritaire. il s’agit d’une simple question. presque naïve. parce-que les gens font toujours ce que tu demandes. même s’il s’agit de tuer un homme ou de brûler un dossier. sans aucune question. tu demandes, ils exécutent. mais pas lui. il est resté. et tu as besoin de comprendre pourquoi. « Et je n’aime pas qu’on ne m’écoute pas. » tu lui dis un peu plus froidement pourtant un fin sourire se glisse sur tes lèvres. comme s’il n’avait rien à craindre. parce-que ce soir il ne sera pas ta victime. peu importe qu’il t’ait écouté ou pas. « En général il y a des conséquences. Et pas toujours très agréables. » ta voix impassible, sans aucune hésitation. tes yeux qui cherchent les siens. ton corps au plus près du sien. et cette bouche, à la fois si loin et si proche. et tu sais que c’est à toi de faire le premier pas. il en a fait beaucoup trop déjà avec tous ces rendez-vous toujours aussi délicieux. il t'a courtisé. comme un réel gentleman.
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