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 undisclosed desires; lazio #2

Laz Montaigu
https://shotatthenight.forumsrpg.com/t935-shit-maybe-i-miss-you-
crimson pistols


Laz Montaigu
undisclosed desires; lazio #2 Tumblr_mri5p6W6JH1sa9sivo1_500

☾ pseudo : margaux.
☾ avatar : styles.
☾ querelles : 564
☾ destiny : 27/01/2018
☾ territories : south side et sa noirceur. le sud et sa connerie. les crimson pour toujours, sans qu'on pose de questions.
☾ relationship :
★ . ☽ . ❤️ . ☾ . ★


vio; mistake; maybe a little more.
ecco; bff.
ace; césare; abel; nova; azra cousins.
esmée; ebe; sisters.
ainhoa; failed first time; good friend.
atticus; thanks for help. and for let me test drugs.
zélina; friends.
cassandre; like a big sis'

dialogues; darkred
undisclosed desires; lazio #2 JMbxR0Cundisclosed desires; lazio #2 SBHXCBu

rps terminés:


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bang bang
. ✦ ⊹ Dim 11 Fév - 0:25 ⊹ ✦ .
- dix-sept février au soir -
ton père y a tenu. il s'est dit que c'était une bonne idée. vingt-et-un ça se fête. ouai, sans doute. mais t'as pas tant la tête à ça, ces derniers temps. même si c'est une bonne occasion de voir tes amis et tes cousins. sans doute que ça l'est. ton père ne t'a pas laissé le choix. comme bien souvent dans ta vie. comme depuis toujours, en réalité. tu n'as jamais tant eu le choix de vivre ta vie comme tu l'entendais. mais bon, tu t'es fais à l'idée. tu t'es habillé assez sobrement, mais élégamment. un costume noir aux motifs en velours, donnant un relief à ta tenue. tu t'es coiffé sobrement et tu t'es rendu jusqu'à la maison ou tu as grandi une bonne partie de ta vie. pour le moment. indépendance acquise il y a seulement une petite année. autorisation de quitter la maison, d'avoir un appartement et un budget à serrer. et, à chaque fois que tu dois y retourner, tu es bien content d'être parti. tu te mords l'intérieur de la joue et enlaces ta mère qui te souhaite un joyeux anniversaire. tu as arrêté de compter le nombre de fois ou elle te l'as souhaiter depuis le quatorze. bien trop, en réalité. tu salues poliment ton père et tes deux oncles, ainsi que tes cousins. et. étrangement, tu t'ennuies déjà. tu n'aimes pas être au centre de l'attention. et tu l'es, ce soir. tes amis et différentes connaissances (et quelques personnes invitées pour faire bonne figures) qui viennent te voir pour te souhaiter ton anniversaire, pour prendre des nouvelles, ce genre de conneries. soupir sur les lèvres, tu préfères boire que d'être très sérieux. même si tu ne bois pas tant que ça. tu te mords l'intérieur de la joue. t'es pas vraiment bourré, au fond. t'es juste, bien. tu fermes les yeux un temps et tu échappes à la présence de ta sœur quelques instants, prétextant un besoin pressent, tandis que tu veux juste t'éloigner pour prendre un peu l'air. mais, visiblement, ce n'est pas ce qu'il va se passer. un léger bruit de surprise t'échappe quand tu sens ton corps être tiré vers l'arrière. une porte qui claque. tu fronces les sourcils, tes yeux mettant quelques secondes à t'habituer à la luminosité assez sombre de la pièce. bordel, il se passe quoi, la ? t'entends la musique en fond, comme si tu étais loin, très loin de l’événement qui se déroule à quelques mètres, dont tu es censé être le centre. tu clignes plusieurs fois des yeux et, finalement, ton regard se pose sur ... lui. putain. qu'est-ce qu'il fout la, lui ?! vio ?! tu exultes, la colère grondant dans ta voix, tes épaules se tendant et ton regard se faisant bien plus sombre, bien moins calme qu’auparavant. tu te redresses par réflexes. parce que t'es plus grand que lui. putain, vous êtes vraiment des suicidaires chez les scorpions. tu siffles, glacial. le semblant de bonne humeur qui t'habitait a disparu et tes poings se serrent. ouai, t'es près à le cogner s'il le faut. t'es près à lui faire regretter sa présence ici. tu arques un sourcil en l'observant. tu sais pas ce qu'il fait la, en plein milieu de la maison familiale. il est fou. complètement fou. tu te mords l'intérieur de la joue en l'observant, les sourcils légèrement froncés. tu ne sais pas, ce qu'il fait la. il est vraiment taré. il pourrait se faire tuer ici. littéralement. et, au fond, une part de toi aime à penser qu'il est venu ici pour toi. pourquoi est-ce qu'il serait ici, sinon ? tu te pinces les lèvres. merde, tu sais vraiment pas quoi penser.
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Vio Hayes
https://shotatthenight.forumsrpg.com/t992-vio-they-say-only-the-
silver chapel


Vio Hayes


☾ pseudo : midnight
☾ avatar : tomlinson
☾ querelles : 601
☾ destiny : 29/01/2018
☾ relationship :
undisclosed desires; lazio #2 JMbxR0Cundisclosed desires; lazio #2 SBHXCBu


laz ∞ one night, hate you love you
silver gang ✩ sebastian, even,
montaigu gang ✩ ace, nova, esmée, noa
capulet gang ✩ harpie, silas

code couleur dialogue : [color=#339999]

RP TERMINÉS:


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bang bang
. ✦ ⊹ Dim 11 Fév - 22:40 ⊹ ✦ .
undisclosed desires
Laz& Vio

foutu pour foutu, tu fonces en plein dedans. maison familiale des montaigu face à toi. grosse bâtisse. lumière, peuple, musique. tu soupires. ça ne t’étonne même pas de voir autant d’organisation. c’est ridicule. tellement ridicule. digne du sud. sur ce coup-là, ils ne sont pas loin des capulets. le mec à l’entrée qui fronce les sourcils quand il te voit te dresser devant lui. visage peu familier pour lui. tu fais mine d’être blasé de devoir prouver ton identité. tu te tournes. il sourit et te laisse passer. quel con. t’as chopé une veste de serpent. tu l’as enfilé avant d’arriver. ton pass pour rentrer sans semer le doute. veste en cuir récupérée il y a quelques jours. tête mise à prix par le boss argentis. alors tu l’as bloqué à la sortie du bar. ton poing contre sa joue, ton genou dans son entrejambe, ton flingue sur sa tempe. il a tremblé. de peur, d’angoisse. t’es persuadé qu’il a vu la mort pendant l’espace d’un instant. le métal contre son crâne. t’as fini par l’assommer. un dernier coup dans le ventre pour t’assurer qu’il ne se réveillerait pas de suite. tu l’as dépouillé. montre, billets, carte bleu, chaine en or, veste en cuir. sur le coup t’avais envie de la salir, de la détruire, de la brûler puis tu y as vu du potentiel. un passe-droit, un moyen de glisser plus facilement dans leurs rangs. et ce soir est la parfaite occasion. murmures au bar. conversation entre deux serpents. majorité d’un des fils montaigu. laz. lui. t’as d’abord grincé des dents. mauvais souvenir en tête. cicatrice sur ta lèvre visible. putain de montaigu. puis un sourire qui s’est dessiné. vengeance, mascarade, opportunité. veste en cuir sur les épaules. envie de vomir dans ta propre bouche. qu’est-ce que tu ferais pas pour te foutre de leur gueule. bien trop dévoué à la cause des silver. envie d’aller le confronter de nouveau. envie de savoir comment il a fini sa soirée l’autre soir. tu te glisses parmi la foule. t’évites les regards. t’es complètement à nu. pas de masque, pas de déguisement. simplement cette veste qui te sert de couverture. tu rases les murs. flingue dans le dos. prêt à dégainer pour survivre. tu comprends pas pourquoi il s’est lancé là-dedans. pourquoi un tel spectacle. t’es même pas sûr que ce soit son genre au gosse montaigu. tu ne le vois pas réclamer ça à son paternel. tu t’avances doucement. puis une touffe brune. son corps élancé. il est là. tes doigts qui attrapent son poignet. tu l’attires vers la première porte que tu trouves d’ouverte. son corps que tu pousses contre la porte. ta main qui vient fermer le verrou. il est en face de toi, encore perdu. tu le regardes. tu prends le temps. qu’il est classe dans son costume le petit montaigu. un vrai petit riche. ses yeux qui viennent trouver les tiens. « vio ?! » un sourire sur ton visage. la colère qui  brûle sa voix. il se tend d’un coup. réaction normale quand vous vous retrouvez ensemble. « putain, vous êtes vraiment des suicidaires chez les scorpions. » qu’il siffle. sa voix glaciale. et tu demandes comment est sa voix avec les autres. tu te poses réellement la question. est-ce qu’elle est douce ? est-ce qu’elle est chaleureuse ? tu ne le sauras probablement jamais. t’es qu’un silver. t’auras le droit qu’à ça de sa part. tu arques un sourcil. « tu peux me tutoyer maintenant. on s’est suffisamment croisés pour que tu lâches le vouvoiement. » un clin d’oeil placé. faux conseil. foutage de gueule complètement transparent. provocation dans l’air. tu te retournes devant lui. signe de son clan dans ton dos. affront ultime. « j’suis devenu serpent. ça va être compliqué de me mettre à votre niveau de conneries par contre...» tu lui annonces naturellement alors qu’au fond ça te brûle de le dire. t’as envie de te mettre à genoux au sol pour prier au bon dieu de te pardonner pour cet affront envers les tiens. tu lui fais de nouveau face. ta main qui glisse dans la poche de ta veste. tu viens lui tendre une boite. « j’ai un cadeau pour toi. utile et agréable. » tu lui siffles. ton ton est léger. t’es surtout fier de ta connerie. « allez ouvre, j’veux voir ta tête. » peut-être qu’il croira que c’est un vrai cadeau d’anniversaire, rempli d’attention et de sentiments. que dalle. c’est juste un énième foutage de gueule. un gros doigt d’honneur que tu lui fais. et t’as hâte de voir ses yeux s’ouvrir en même temps que la boite. un gode, dans la boite. un putain de jouet sexuel. pour ses vingt et un ans. emballé par tes petites mains.
Made by Neon Demon
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Laz Montaigu
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Laz Montaigu
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bang bang
. ✦ ⊹ Dim 11 Fév - 23:30 ⊹ ✦ .
ça te fatigue. de devoir jouer la comédie. encore et toujours. vingt-et-un plus tard, tu es toujours celui qui se cache derrière des faux sourires et des faux-semblant pour être bien vu, pour ne pas être laissé pour mort au fond d'une ruelle et pour ne pas souffrir plus que tu ne souffres déjà de la situation. tu manques un soupir, tu n'aimes pas cette attention qu'on te porte. tu as l'impression d'être un imposteur. tu préfères laisser ce genre de festivités aux autres. ce n'est pas toi, ce n'est définitivement pas pour toi. tu retiens un léger soupir. tu donnerais tout, pour pouvoir t'échapper, rentrer dans ton appartement et pouvoir dormir quelques heures, te réveiller demain avec une gueule de bois parce que bon, t'as quand même bu. pas tant que ça, assez pour avoir mal au crâne demain, pas assez pour perdre le contrôle comme tu as pu le faire il y a quelque temps déjà. tu te mords l'intérieur de la joue et tes doigts glissent dans tes cheveux, tandis que tu trouves un excuse bidon pour t'éloigner quelques instants, essayer de t'échapper assez longtemps pour aller prendre l'air dehors, sur la terrasse. mais tu es bien rapidement stoppé dans ta course, tiré vers l'arrière, attiré dans une pièce et poussé contre une porte. tu fronces les sourcils, tu mets plusieurs secondes pour t'habituer à la luminosité de la pièce avant de le reconnaître. vio. putain. putain de scorpion. la colère qui t'habite soudain, l'envie de le frapper, l'envie de lui faire bouffer ses derniers actes, dans cette putain de ruelle, il y a quelques jours. tu peux me tutoyer maintenant. on s’est suffisamment croisés pour que tu lâches le vouvoiement. tu arques un sourcil à ses mots. il est sérieux, la ? ah oui, trois rencontres, c'est énorme. j'peux aussi te présenter à mon père, il sera ravi de te voir. tu siffles, blasé. complètement blasé par son comportement de gosse. c'est censé être toi, le plus jeune de vous deux. et tu enrages encore plus quand il se tourne et que tu remarques qu'il porte une veste en cuir rehaussée d'un serpent. j’suis devenu serpent. ça va être compliqué de me mettre à votre niveau de conneries par contre... tu serres les poings. tu restes silencieux. tu ne répondras pas à sa provocation de gamin. t'es pas à ce stade. t'es pas aussi pathétique que lui. j’ai un cadeau pour toi. utile et agréable. allez ouvre, j’veux voir ta tête. tu arques un sourcil, récupérant le paquet avec précaution. encore un sale coup de sa part. t'en es persuadé. et puis, comment il a su que c'était ton anniversaire ? tu retiens un profond soupir en l'observant, le regard toujours noir et colérique. tes doigts qui frôlent les siens dans la manœuvre, tu te mords l'intérieur de la joue, tu restes de marbre, tandis que ton sang bouillonne dans tes veines. pourquoi. pourquoi est-ce que tu te sens si ... si faible, face à lui ? putain. tu termines par tirer sur l'emballage, tes ongles raclant le carton de la boite. tu arques un sourcil en découvrant son contenu. un jouet. sexuel. sérieusement ? tu te pinces légèrement les lèvres, sans trop t'en rendre compte. et donc, tu te retrouves ici juste pour un bout de plastique ? tu lâches, tentant de garder ton calme, de reste impassible. si seulement tu savais à quel point ton comportement de gamin me fait pitié. tu ajoutes après quelques secondes. le temps de contrôler le ton de ta voix, de ne pas la laisser trembler. parce que la situation te semble avoir prit une tournure tout autre. la boite toujours entre tes doigts, tu n'as pas encore touché à l'objet. juste, découvert. constaté. t'as aucune idée de ce qu'il va devenir. abandonné au fond d'un placard ou ... tu ne veux même pas y penser. tu te mords l'intérieur. tu peux déguerpir avant d'être tué, maintenant. tu siffles, sarcastique. évidemment qu'il ne va pas le faire. tu sembles le connaître bien trop bien, alors qu'il reste un parfait inconnu à tes yeux. tu ne sais rien de lui. un nom. un prénom. une certaine partie de son anatomie. pas grand chose, en soit. est-ce que tu as envie d'en connaître plus ? tu n'en sais trop rien. oui, non, ça varie, ça dépend des moments, en réalité. tu retiens un soupir, tes doigts viennent négligemment glisser dans tes cheveux.
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Vio Hayes
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silver chapel


Vio Hayes


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bang bang
. ✦ ⊹ Jeu 15 Fév - 10:32 ⊹ ✦ .
undisclosed desires
Laz& Vio

bien trop agréable de te glisser chez eux, visage découvert. la veste de serpent sur le dos. t’es persuadé que personne ne va remettre en question ta présence. ils devraient les cons. t’as rien à foutre ici. pourtant certaines doivent connaitre ton visage. ceux qui t’ont déjà vu au bar. celui où tu traines tout le temps. celui où tu attends patiemment que le montaigu débarque. pas toujours. ou alors vous vous croisez. ça ne t’étonnerait même pas que le destin se foute de votre gueule et vous fasse venir là-bas alors que l’autre n’y est pas. jeu du chat et de la souris. t’es le chat, c’est sûr. tu finiras par le bouffer le gamin. pourtant c’est tête baissée que tu t’avances. c’est risqué. trop risqué pour que tu t’en sortes indemne. le metal dans ton dos. rassurant, utile et prêt à être utilisé. puis tu croises son chemin. lui. le mec de la soirée. sans même le prévenir, tu attrapes son bras pour l’attirer dans une pièce voisine. tu sais même pas où vous atterrissez. tu fais pas attention. tes yeux rivés sur lui. tu cherches à voir s’il porte encore des marques de la dernière fois. tes marques. presque déçu que son visage soit redevenu rose. ton poing qui n’est presque qu’un lointain souvenir. pourtant tu sais que c’est encore là. l’hématome qui est légèrement visible. et t’aimes. t’aimes tellement le fait qu’il soit rentré chez lui complètement amoché. visage ensanglanté. hanche coupée. t-shirt sali. tu brûles de savoir ce qu’il a bien pu raconter autour de lui. impossible qu’il parle de toi. tu sais très bien qu’il ne le fait pas. son paternel l’aurait probablement déjà fait enfermer dans un couvent s’il le savait. tu le provoques, encore, toujours. et il répond. au tac au tac. aussi rapidement et aussi blasé que d’habitude. il te fait rire. il est bien trop prévisible. et tu perds pas de temps. t’es pas venu pour faire la conversation. tu t’en fiches pas mal de savoir comment il va et s’il s’amuse bien à sa soirée de gosse de riche sudiste. t’es là pour te foutre de lui, pour le pousser toujours un peu plus à bout. pression psychologique que t’exerces. tes mots qui ont pour but de le rendre fou. fou de rage de devoir avouer à voix haute que tu lui fais prendre son pied. ton ego en a besoin. jeu dangereux. tes doigts qui lui tendent une boite. un sourire sur les lèvres. t’es fier, bien trop fier de ta connerie. et tu devrais pas, putain. son regard aussi froid qu’une pierre tombale. ses doigts qui frôlent les siens en venant récupérer le présent. tu guettes une quelconque réaction. mais rien. absolument rien. un vrai robot ce gosse. c’est presque comme si on lui avait appris à ne pas réagir au toucher de l’ennemi. frustrant. « et donc, tu te retrouves ici juste pour un bout de plastique ? si seulement tu savais à quel point ton comportement de gamin me fait pitié. » sa voix pas aussi si sûre que d’habitude. il se veut ferme et clair mais il ne l’est pas. ses doigts sur la boite. tu le sens presque déstabilisé. et c’est exactement ce que tu voulais. le voir fléchir, le voir incertain, le sentir lâcher prise. mouvement osé, vio. mouvement gagnant. « tu peux déguerpir avant d’être tué, maintenant. » qu’il lâche. comme si tu allais réellement l’écouter. il te déçoit de le penser ne serait-ce qu’une seconde. tu te recules. doucement. tes yeux fixés aux siens. tu le laisses contre le mur. ta langue qui glisse sur ta lèvre coupée. pas sa faute. « j’viens juste d’arriver, montaigu. j’vais pas repartir maintenant. » tu lui dis simplement. tu hausses les épaules, comme si tu t’excusais presque de le faire chier. non, tu le fais pas. non tu le regrettes pas. tes doigts qui viennent effleurer les cadres de photo sur le meuble. chambre d’enfant. chambre d’ado probablement. tu fronces les sourcils. tu ne connais pas assez sa famille de consanguins pour savoir à qui elle appartient. ils se reproduisent bien trop à ton goût les montaigu. puis tu attrapes un cadre. quatre enfants, trois filles, un garçon. tu le reconnais rapidement. cheveux plus courts, plus bouclés. tu ris doucement. « il faudra que tu me présentes à tes soeurs un jour. comment elle s’appelle, elle ? j’la connais j’en suis sûr. » tu fais semblant de réfléchir. visage familier pour toi, c’est sûr mais c'est pas très clair pour toi de quand et comment tu as croisé sa route. puis tu te tournes vers lui, air victorieux sur le visage. « esmeralda non ? j'suis sûr qu'elle doit être adorable une fois plaquée contre un matelas, bouche étouffée contre un oreiller. » ton ton froid qui laisse supposer que tu as, tout sauf envie d’être gentil avec elle. t’es capable de bien trop de choses. torture, blessure, violence. c’est une crimson de plus à tes yeux. mauvais clan. et tu sais que ça va le faire péter un cable. t’es persuadé qu’il tient beaucoup trop à ses soeurs. sujet sensible touché. puis tu lâches le cadre au sol. geste brusque et violent. il se brise par terre. bruit qui sera étouffé par la musique plus loin. un autre qui vient le rejoindre. tous ces précieux souvenirs qui se cassent sous tes yeux et sous les siens, dans ton dos. « j’veux mon couteau. » tu balances froidement. tes doigts qui attrapent les cadres et les objets sur le meuble pour les fracasser au sol. « j’partirai pas sans. j’sais que tu l’as récupéré. » elle est là, la vraie raison. et tu ne cèderas pas. s'il faut tu saccageras complètement cette putain de chambre.
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Laz Montaigu
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Laz Montaigu
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bang bang
. ✦ ⊹ Jeu 15 Fév - 12:31 ⊹ ✦ .
tu dois faire bonne impression. te limiter à un verre de vin ou à un autre. rien de bien folichon, rien qui te permettra d'oublier cette soirée. mais ... tu sais très bien que la soirée se terminera autrement, autre part. sans doute au fair verona. parce que tu as bien vu qu'ace était tout aussi emmerdé que toi d'être ici. et qu'il doit être en train de planifier son plan pour te tirer de la. tu retiens un léger rire, tandis que tu as perdu le fil de la conversation à laquelle tu participais jusqu'à présent. une nouvelle conversation ennuyante avec quelqu'un que tu ne connais pas, mais qui, elle, semble te connaître. et plutôt bien. tu te mords l’intérieur de la joue quand une de tes sœurs arrive et se mêle à la discussion. tu la remercies d'un regard, avant de trouver une excuse bidon pour pouvoir t'éloigner quelques instants ou même quelques minutes, si tu as de la chance. tu retiens un soupir, tes doigts glissent dans tes cheveux et tu abandonnes ton verre sur un plateau argenté. ton père en fait trop. évidemment qu'il en fait trop. mais bon, il faut croire que vingt-et-un ans, ça commence à devenir significatif. tu n'as pas le temps d'aller plus loin dans ta réflexion, tu es tiré en arrière et tu te retrouves plaqué contre une porte quelconque. vio. bordel qu'est ce qu'il fou la. comment est-ce qu'il a bien pu entrer ici. et .. tout ça pour quoi ? pour te tendre une boite renfermant un putain de jouet. sexuel. sa maturité, ou plutôt, son absence de maturité t'étonnera toujours. tu arques un sourcil, tu ne réagis pas. pas comme il le souhaiterait, et tu le sais très bien. tu dois bien remercier ton père pour ça, pour t'avoir apprit à rester impassible la plupart du temps, quelle que soit la situation. et pourtant, ta voix tremble légèrement. elle le fait toujours, quand il s'agit d'une manière ou d'une autre de sexe. tu retiens un long soupir. j’viens juste d’arriver, montaigu. j’vais pas repartir maintenant. tu arques un sourcil quand il s'éloigne de toi. tu clignes plusieurs fois des yeux pour te rendre seulement compte de la pièce dans laquelle il vous a enfermé. ta chambre d'enfant, sérieusement ? sur toute les putains de pièces présentent dans cette maison, il a fallu qu'il vous embarque dans ton ancienne chambre. et sans doute qu'il en arrive à la même conclusion, vio. parce que ses doigts sont maintenant posés sur un cadre photo. tes sœurs et toi. tu ne devais pas avoir plus de six ans, sur le cliché. il faudra que tu me présentes à tes soeurs un jour. comment elle s’appelle, elle ? j’la connais j’en suis sûr. esmeralda non ? j'suis sûr qu'elle doit être adorable une fois plaquée contre un matelas, bouche étouffée contre un oreiller. tu enrages. tes sœurs. t'as beau être le dernier, être le plus jeune, tu ne supportes pas qu'on s'en prenne à tes sœurs. t'approches pas d'elle. tu siffles d'une voix menaçante, te redressant totalement, faisant un pas vers lui. il va le regretter. quoiqu'il ait pu penser, il va le regretter, putain. le cadre qui se fracasse au sol. ce n'est qu'un cadre, la photo à l'intérieur toujours entière. ça se rachète un cadre, comme si tu manquais d'argent d'une quelconque marnière. comme si ton père manquait d'argent. tu l'observes, les poings serrés, les épaules tendues. j’veux mon couteau. j’partirai pas sans. j’sais que tu l’as récupéré. tu exultes. c'est vraiment un gosse. un putain de gamin. tu t'approches de lui, te fichant bien de marcher sur des débris de verre. tu attrapes ses épaules et tu viens le pousser contre le mur le plus proche. les rôles s'inversent. tu l'as laissé jouer bien trop longtemps. j'ai pas ton putain de couteau ici. tu lâches. sous-entendu que tu le possèdes bel et bien. je vois pas pourquoi je viendrais armé chez mes parents. tu ajoutes en arquant un sourcil. couteau qui trône toujours sur la table-basse de ton salon, arme à laquelle tu n'as pas encore touché, si ce n'est que pour nettoyer le sang s'y trouvant. tu le maintiens contre le mur, ton corps sans doute trop proche du sien. bien trop proche. la boite qui se trouvait dans tes mains il y a quelques instants encore, abandonnée au sol, tout comme un bon nombre de choses. tu attrapes son col. alors maintenant, tu vas me faire le plaisir de déguerpir d'ici. parce que tu peux casser ce que tu veux et gueuler autant que tu veux, j'ai pas ce que tu cherches. tu lâches d'une voix froide. et si tu continues, crois-moi que tu ne t'en tireras pas aussi bien que la dernière fois. tu ajoutes. parce qu'il a réussi à prendre le dessus. parce que tu aurais très clairement pu reprendre le dessus, dans la ruelle, mais tu t'es laissé défaire par ses doigts dans ton caleçon. sous-entendu que tu ne le laisseras pas faire. sous-entendu qu'il y a tout une lignée de montaigu à quelques mètres de lui qui sont près à lui faire la peau s'il le faut. putain de gamin. t'as l'impression de réagir comme un enfant, tout ça parce qu'il y a des trucs que t'assumes pas totalement et d'autres dont tu n'es pas capable de prendre en main comme il le faudrait. tu manques un soupir, ton regard noir ne quittant pas vio.
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Vio Hayes
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. ✦ ⊹ Sam 17 Fév - 23:04 ⊹ ✦ .
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dernier échange en ta faveur. dernière rencontre, c’est lui qui s’est retrouvé comme un con. au sol. cartes abattues. t’es ressorti victorieux. et te revoilà pour l’humilier de nouveau, pour garder la main. sur lui, sur son esprit, sur son corps. t’as compris maintenant que tu pouvais le faire perdre pied. qu’il suffisait de pas grand chose pour le rendre fou de rage. et que quelques caresses bien placées pouvaient l’amener à baisser les bras. tu comptes pas repartir sans ce que tu es venu chercher. ton canif. celui que tu as depuis que t’as huit ans. t’étais pas assez grand pour comprendre. tu l’as juste récupéré après une bagarre devant chez toi. et tu t’es dit que si un jour tu te retrouvais dans cette famille, t’aurais besoin de pouvoir te défendre. alors tu t’y accrochais à ce couteau. il ne t’a pas quitté et il t’a sorti de mauvaises situations et ça te stresse de l’avoir laissé dans la ruelle l’autre soir. normalement tu l’oublies jamais. normalement tu pars quand t’as fini le taf. tu ne laisses pas de trace, tu fais les choses bien. mais ce soir-là tes yeux ont été captivé par son corps à lui, au sol, complètement paumé. trop d’émotions dans son regard. t’en as laissé ta lame. et tu t’en veux d’avoir été si peu soigneux. et t’es persuadé qu’il l’a le con. forcément. alors tu joues avec ses nerfs. après lui avoir offert un cadeau empoissonné et surtout qui pue le routage de gueule, tu t’amuses à fracasser ses cadres en verre contre le sol. t’as vite compris que c’était sa chambre. tu t’en doutes. trop de photos de lui plus jeune. sourire aux lèvres. il est dans ton dos. ta langue qui parle de sa soeur ainée. son prénom qui glisse sur tes lèvres. provocation. tu le pousses à bout. tu t’en prends aux personnes à qui il tient. « t’approches pas d’elle » qu’il siffle. il veut être menaçant, autoritaire mais toi tu te contentes de pouffer doucement de rire. comme si il allait t’empêcher de faire quoi que ce soit. en trois ans chez les silver, tu en as croisé des montaigu et ses soeurs ont probablement été sur ton chemin. bien plus qu’une fois. un autre cadre qui finit sa chute sur le sol. t’y prends bien trop de plaisir. fracasser ses photos, sa vie, son esprit. tu t’immisces doucement mais sûrement en lui. juste assez pour le faire réagir, pour chambouler son petit quotidien monotone. alors tu quémandes haut et fort. ta voix qui ne lui laisse pas la possibilité de riposter. sauf qu’il dit rien, il t’attrape par les épaules pour te plaquer contre le premier mur. tu couines faiblement. « j’ai pas ton putain de couteau ici. je vois pas pourquoi je viendrais armé chez mes parents. » tu fronces les sourcils. donc c’est bien lui qui l’a. et putain ça te fait chier de le savoir chez lui. il a rien à foutre là-bas. il est à toi, ce couteau. et t’aurais dû le récupérer l’autre soir. « putain mais tu pouvais pas le ramener ! » c’est irrationnel. tu le sais. bien sûr que c’est compréhensible qu’il ne l’ait pas ce soir. mais tu t’en fous. tu t’énerves contre lui, sans vraie raison et il finit par attraper ton col. tes mains sur son torse pour le dégager de toi. mais il est proche. trop proche. il te surplombe légèrement. et ses yeux verts qui te brûleraient presque tant ils sont intenses. « alors maintenant, tu vas me faire le plaisir de déguerpir d’ici. parce-que tu peux casser ce que tu veux et gueuler autant que tu veux, j’ai pas ce que tu cherches. et si tu continues, crois-moi que tu ne t’en tireras pas aussi bien la dernière fois. » il en serait presque intimidant le gosse si tu connaissais pas ses points faibles. un sourire sur tes lèvres. ta langue qui glisse sur celle fendue. par sa faute. tes yeux dans les siens. silence pendant un certain temps. un silence que tu maitrises. volontaire. la tension qui monte. les regards qui brûlent. tes paumes qui ne rejettent plus son torse mais qui viennent agripper sa veste pour le rapprocher encore plus que toi. et pourtant il est putain de proche. tu sentais quasiment son souffle sur ton visage. tu viens franchir les quelques centimètres qui vous séparent. tes lèves qui viennent jouer avec les siennes. effleurement, caresses, provocation. pas plus. rien. juste assez pour lui donner envie de transformer ce mouvement en baiser. et pour appuyer le vice plus loin, tes dents viennent mordre sa lèvre inférieure. ta langue qui glisse à peine dessus. tu te détaches légèrement. « et si j’pars pas ? et si j’reste ? tu feras quoi ? » tu lui demandes avec un air de défi. tes paumes qui glissent le long de sa veste. doucement. tes doigts qui viennent s’occuper de son pantalon. un fin sourire sur tes lèvres. vos nez qui se touchent. tes yeux qui restent fixés dans les siens alors que tes mains sont au dessus de son ventre. « ce costume est bien trop triste pour un anniversaire. »tu murmures gentiment alors que tu finis par déboutonner son bas. pantalon qui finit au niveau de ses chevilles. tes mains qui glissent sous sa chemise. tes paumes sur sa peau chaude. « tu vas me virer ? tu as toujours envie de me foutre à la porte ? » tu murmures. tu te lèves légèrement pour venir poser tes lèvres dans son cou. tu viens mordiller sa peau. tu as envie de le marquer, le dévorer, le faire crier, le faire pleurer.
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Laz Montaigu
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☾ pseudo : margaux.
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☾ querelles : 564
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☾ territories : south side et sa noirceur. le sud et sa connerie. les crimson pour toujours, sans qu'on pose de questions.
☾ relationship :
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vio; mistake; maybe a little more.
ecco; bff.
ace; césare; abel; nova; azra cousins.
esmée; ebe; sisters.
ainhoa; failed first time; good friend.
atticus; thanks for help. and for let me test drugs.
zélina; friends.
cassandre; like a big sis'

dialogues; darkred
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bang bang
. ✦ ⊹ Sam 17 Fév - 23:38 ⊹ ✦ .
tu n'aurais jamais dû t'écarter de la foule, t'éloigner, chercher quelques minutes de répit, de repos. tu ne te serais pas retrouvé dans ta chambre - comme une douce ironie, d'ailleurs - en compagnie de vio. tu ne te serais pas retrouvé dans cette situation. c'est étrange, bien trop. et il ne te faut que très peu de temps pour comprendre la réelle raison de sa présence ici. son canif qu'il veut récupérer. tu aurais du t'en douter, en y pensant bien. il doit être précieux pour lui, une arme de défense comme une autre. tu te mords l'intérieur de la joue. tu ne l'as pas. évidemment que tu ne l'as pas, à quoi, est-ce qu'il s'attendait. tu retiens un soupir, tu tentes de rester calme, de ne pas t'énerver, de ne pas le frapper une nouvelle fois. si des débris de verres peuvent être faciles à nettoyer, du sang sur le sol et les meubles, beaucoup moins. tu en es conscient, et tu prends sur toi. bien trop sans doute, parce que vio te met dans tout tes états. tu luttes contre ton propre corps, tu luttes contre tout ce qu'il se passe dans ton esprit et que tu n'arrives pas à contrôler. il évoque ta sœur, et même face à ça, tu restes le plus calme possible. tu te pinces les lèvres et tu te contentes de serrer tes poings. tu l'observes. il s'énerve tout seul, le garçon. et il t'énerve par la même occasion. tu n'arrives pas à saisir totalement ce qu'il provoque en toi et ça te rend bien trop ... vulnérable. tu détestes cette sensation. tu la hais plus que tout, en réalité. c'est comme te retrouver nu face à une foule. il recommence. son couteau. encore et toujours. et tu termines par perdre légèrement patiente et le plaquer contre le premier mur qui passe, lui arrachant un petit bruit au passage. et tu ne devrais pas, être aussi proche de lui, te rapprocher de lui. parce qu'il sait comment te pousser à bout. il l'a déjà fait une première fois. putain mais tu pouvais pas le ramener ! tu arques un sourcil et, pour le faire taire, tu viens attraper son col, le menaçant un peu plus encore. tu profites de tes centimètres supplémentaires, de ce petit avantage. tu le menaces. tu sais que ça ne fonctionnera sans doute pas. tu fronces légèrement les sourcils, ses mains contre ton torse pour te repousser, sans doute. tu n'en sais trop rien, il te trouble et ce n'est pas la première fois, putain. tu t'en veux. tu t'en veux de te sentir si faible et si pliant sous son toucher, alors qu'il ne s'agit que de ses mains essayant de t'éloigner de lui. essayant de t'éloigner ? tu n'en est plus vraiment certain, maintenant, parce que ses doigts ont agrippé ta veste de costume, parce que tu te retrouves encore plus proche de lui. comme si c'était possible de l'être. ton regard plongé dans le sien, vos souffles s'entrechoquant l'un contre l'autre. tu tentes de rester de marbre quand ses lèvres viennent effleurer les tiens, quand il te provoquer un peu plus. tu ne craqueras pas, tu ne viendras pas l'embrasser. ses dents s'enfoncent dans ta lèvre inférieure et ton souffle s'accélère légèrement. tu manques de peu de fermer les yeux, mais tu prolonges le contact visuel entre vous. tu ne lui feras pas ce plaisir. et si j’pars pas ? et si j’reste ? tu feras quoi ? tu te mords l'intérieur de la joue, tentant plutôt de contrôler ton souffle quand ses mains bougent sur ton corps plutôt que de lui répondre. de chercher à lui répondre. ses doigts contre ton pantalon, s'attelant à le défaire. ce costume est bien trop triste pour un anniversaire. toujours moins triste que de voler une veste pour s'introduire dans une propriété privée. tu siffles un peu trop rapidement, ton souffle te trahissant, à ton grand désarroi. le tissu noir termine à tes chevilles, n'ayant eu aucun mal à dévaler tes jambes une fois l'attache ayant sautée sous les doigts habilles du plus âgé. tu vas me virer ? tu as toujours envie de me foutre à la porte ? tes muscles se contractent involontairement quand ses doigts glissent sous ta chemise, contre ta peau, la ou l'encre a coulé.ses lèvres contre ton cou. une de tes main le lâche finalement pour t'appuyer contre le mur, tu fermes les yeux, sachant très bien que ne peux le voir, puisqu'il est bien trop occupé à te rendre fou, ses dents s'enfonçant dans ta peau, légèrement. tu déglutis difficilement, ton corps te hurle de céder, le peu de fierté qu'il te reste, de lui dire d'aller se faire foutre et de le foutre dehors. tes ongles courts raclent contre la peinture du mur et, putain, tu devrais réussir à te contrôler. t'attends quoi ? le déluge ? tu souffles. ton corps ayant cette fois-ci remporté la partie. encore. et tu ne sais pas si un jour ... si un jour tu arriveras, à mettre tout ça de côté. cette attirance, cette envie, ses prunelles bleues. bordel. tu rouvres les yeux, ton regard se posant sur ses mèches de cheveux désordonnées et ... tu viens glisser tes doigts à l'intérieur, serrant doucement les mèches brunes, tandis que tu as déjà bien du mal à respirer alors qu'il te touche à peine. tu te mords la lèvre inférieure. bordel, t'es as peut-être bien envie. beaucoup trop pour que tu l'ignores, maintenant. et un jour, sans doute, tu l'espères, tu arriveras à ne pas être faible, face à lui.
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Vio Hayes
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. ✦ ⊹ Dim 18 Fév - 0:46 ⊹ ✦ .
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tu finis toujours bien trop proche de lui. que ce soit pour lui foutre ton poing dans la gueule, pour le couper à la hanche ou pour glisser tes doigts dans son pantalon. son corps qui finit contre le tien. quoi qu’il arrive. attraction inévitable. il ne te repousse pas. plus maintenant. il commence à céder. il commence à accepter cette proximité constante qu’il y a entre vous. en même temps c’est lui qui finit trop souvent à te pousser contre le mur le plus proche. il a une vraie passion pour t’emprisonner avec son corps. son souffle contre ton visage. tes yeux dans les siens. tu prends le temps de le regarder. tu cherches à voir où il en est. si c’est toujours la tornade dans son esprit. s’il continue d’être perdu parce-que t’es là, parce-que t’es un mec, parce-que vous avez couché ensemble, parce-que tu l’as touché la dernière fois. ça commence à faire beaucoup pour sa petite tête d’ange et t’espères au fond qu’il a accepté. un peu. plus que la première nuit. t’as envie de croire que chaque rencontre le fait ouvrir les yeux. mais rien. t’y vois rien dans ces yeux. juste une trop grande intensité. un silence de plomb indéchiffrable. il ne se livre pas. il ne cède pas. ton regard qui ne quitte pas le sien alors que tes lèvres viennent jouer avec les siennes. tu veux doucement le faire pied. sans violence. user tes autres atouts. ceux qui ont marchent. ceux qui finissent par lui faire perdre la raison. corps, hormones qui prennent le dessus. et t’y crois. t’y crois à ce baiser que tu réclames indirectement. tes lèvres qui glissent contre les siennes. tes dents qui viennent le mordiller. ta langue qui l’effleure. t’y vas doucement. petits pas. gestes lents, sensuels.et tu pourrais ne rien voir, avoir l’impression qu’il est complètement impassible. mais son souffle est légèrement plus rapide. tu te détaches légèrement de lui. tes mains sur son torse. elles glissent, elles glissent. il ne t’arrête pas. et il est là le signal que tu peux continuer, qu’il apprécie ce que tu lui fais. parce-que tu sais très bien que si c’était pas le cas, tu l’aurais vite su. pantalon baissé, tu lui redemandes. tu insistes de nouveau. est-ce qu’il va te foutre dehors ? est-ce qu’il osera le faire ? alors que tu es plus docile, plus tendre. que ta colère et ta stupidité ont laissé place à la sensualité. tes doigts qui viennent caresser sa peau sous sa chemise. pansement au niveau de sa hanche. coupure pansée. toujours pas de main sur ton poignet. toujours pas de cri ou d’insulte. alors tu continues. tu te mets sur la pointe des pieds pour venir mordiller son cou. une main qui te lâche et tu penses que tu vas te la prendre. tu te dis qu’il vient de reprendre ses esprits. se rappeler qu’il ne doit pas céder, que t’es un scorpion, que tu dois dégager de sa chambre. puis non, elle vient s’appuyer contre le mur. son corps qui devient plus pliant sous tes lèvres. ses muscles qui se tendent. tes dents sur sa peau rougie. légère marque qui ne durera pas. « t’attends quoi ? le déluge ? » qu’il souffle difficilement. la raison qui s’envole. le corps qui cède. tu souris dans son cou. tu gagnes encore, vio. ses doigts dans tes mèches. tu le vois mordiller sa lèvre. et putain il est sexy. ton index qui se retrouve au dessus de sa chemise. tu le pousses vers le lit. son corps qui vient s’effondrer sur le matelas. tu dégages son pantalon de ses chevilles. tes doigts qui viennent déboutonner sa chemise. rapidement. trop rapidement. c’est désordonné. t’as peur qu’il t’échappe. tes lèvres dans son cou, sur son torse, ses tétons, ses côtés. tes yeux qui s’arrêtent quelques instants sur son pansement. tu préfères pas y penser. il finit juste en caleçon. veste et chemise qui ont rejoint le pantalon par terre. ta main sur son entrejambe. tes yeux qui cherchent les siens. « c’est mieux comme ça non ? ça te rappelle quelque chose ? » tu lui dis en passant ta langue sur ta lèvre coupée. puis un bruit contre la porte. tu te figes. verrou enclenché. ta main sur sa bouche. t’es pas sûr qu’il aurait répondu. pas dans son intérêt. mais tu préfères pas prendre le risque. « occupé ! » tu cries avant d’entendre les pas s’éloigner. « on peut même pas être tranquille pour baiser ici » tu râles avant de reprendre tes mouvements contre lui. ta main toujours contre ses lèvres. et tu souris, déjà fier de ce que tu vas balancer. « j’devrais te foutre un putain de tissu entre les dents à chaque fois. t’es sexy quand t’es silencieux et complètement soumis. » tu lui balances. et peut-être que t’as pas envie que ce soit si facile, qu’il cède sans rien dire. ça marche pas comme ça entre vous d’habitude.
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. ✦ ⊹ Dim 18 Fév - 1:28 ⊹ ✦ .
la situation t'échappe totalement. hors de contrôler. un peu comme le sang qui coule dans tes veines, comme l'envie qui se mêle à l'hémoglobine, qui se fait une place même si elle n'est pas conviée dans l'équation ou la situation actuelle. tout semble déraper une nouvelle fois. tout semble de trop. ses lèvres effleurant les tiennes, ses mains contre ta peau, vos épidermes en contacts, son regard plongé au fond du tien. tu as l'impression de suffoquer intérieurement. ta raison semble s'être fait la malle il y a quelques minutes déjà, tandis que tu t'empêches de réagir trop violemment, tandis que tu t'empêches de l'insulter de tout les noms, de le pousser loin de toi, loin de cette maison, de ce lieu inconvenant. tu en es incapable. faiblesse humaine face à la luxure qui a de plus en plus de place entre vous. il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer la tension qui habite votre échange, si l'ont peut encore appeler ça un échange. sans doute pas, puisque tu te sens incapable de réagir. seul ta main vient quitter son corps pour prendre appuis contre le mur. ses doigts glissent contre ta peau, ce contact t'électrises. tu te sens incapable d'avoir la réaction qu'il faudrait. alors tu te contentes de fermer les yeux, d'essayer de contrôler ta respiration, de le laisser glisser ses lèvres dans ton, taquinant ta peau de ses dents. et, bordel, ta peau réclame beaucoup plus que ce simple contact. tu es toujours tiraillé. entre ta famille et ce que tu es vraiment. cette attirance que tu ne peux finalement réprimer, parce qu'elle est bien trop forte, bien trop puissante, bien trop dévastatrice, à l'intérieur. ouragan au fond du crâne. et puis finalement, quelques mots soufflés. parce que tu as fais ton choix, parce que tu n'es pas assez fort pour lutter. pas assez courageux pour dire non, parce que tu en meurs d'envie et que tu découvres seulement ces plaisirs dissimulés de la chair. le danger est bien trop excitant, lui aussi. beaucoup trop, putain. et visiblement, ces quelques mots, c'est tout ce que le brun attendait pour te pousser à reculer, pour que tes mollets buttent contre le bord de ton ancien lit et pour que tu tombes dessus, te retrouvant bien vite débarrasser du pantalon entravant tes chevilles, te retrouvant bien rapidement avec vio au-dessus de toi, occupé à batailler contre les boutons de ta chemise, dévoilant ton torse, envoyant tes vêtements voler dans la pièce. ses lèvres contre toi, tu as du mal à respirer, ton souffle se bloque dans ta gorge, ton corps se cambre contre le sien, tes doigts trouvent leur prise dans ses cheveux, le maintenant presque désespérément contre toi. t'as putain de besoin de ce contact. tu te retrouves simplement vêtu de ton boxer et ses doigts se posent contre, un léger bruit s'échappe de tes lèvres, à mi-chemin entre la surprise et le plaisir. à mi-chemin entre la raison et la folie, le désir qui t'habite quand il est près de toi. c’est mieux comme ça non ? ça te rappelle quelque chose ? tu arques un sourcil, te mordant l'intérieur de la joue, n'empêchant pas un faible gémissement de s'échapper de tes lèvres. tu t'apprêtes à répliquer quand un coup se fait entendre contre la porte, tu sursautes presque, tournant la tête, n'ayant pas le temps de quoique ce soit que la main de vio vient se plaquer contre ta bouche pour empêcher le moindre son de s'en échapper. tu fronces les sourcils, ton corps bloqué sous le sien. on peut même pas être tranquille pour baiser ici. tu arques un sourcil. alors ouai, vous allez vraiment faire ça, maintenant, alors que toute ta famille est à quelques mètres de vous. bordel. tu aurais sans doute gémis si ça main n'était pas contre ta bouche. ses doigts qui recommencent à bouger contre ton boxer. j’devrais te foutre un putain de tissu entre les dents à chaque fois. t’es sexy quand t’es silencieux et complètement soumis. tu fronces les sourcils, tes lèvres viennent attaquer sa paume alors que tu n'as aucun mal à te redresser pour le pousser à son tour contre le matelas, une main contre son torse. j'suis pas ton putain de soumis. tu siffles d'une voix que tu aurais aimée moins tremblante d'impatience. tes doigts qui s'attellent à le débarrasser de ses vêtements. tu as définitivement arrêté de penser.
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vio; mistake; maybe a little more.
ecco; bff.
ace; césare; abel; nova; azra cousins.
esmée; ebe; sisters.
ainhoa; failed first time; good friend.
atticus; thanks for help. and for let me test drugs.
zélina; friends.
cassandre; like a big sis'

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. ✦ ⊹ Lun 26 Fév - 20:52 ⊹ ✦ .

bouge toi. j'ai pas que ça à foutre. tu siffles une fois ta voix assez assurée pour pouvoir parler sans que ta voix ne tremble. tu termines de te rhabiller, faisant attention à la propreté du tissu. pantalon, chemise. tu attrapes ta veste au passage et te tournes vers le brun, les sourcils légèrement froncés, douleur plus totalement inconnue au creux des reins. presque une brûlure en réalité. douce brûlure bien trop significative. tes doigts glissent dans tes cheveux l'air de rien, tandis que tu te mords l'intérieur de la joue, que tu ne sais réellement comment réagir. bulle qui éclate, dur retour à la réalité et jeu qu'il faut reprendre, recommencer, apprendre à nouveau.
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. ✦ ⊹ Mer 28 Fév - 16:26 ⊹ ✦ .
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tes mains qui se dégagent de sa peau. ton dos qui vient s’étaler sur le matelas. tu souffles. tension disparue. satisfaction, plaisir assouvi. bordel, t’as bien fait de venir vio. tu le vois se redresser rapidement. tu te relèves et tu prends appui sur ton coude pour le regarder. tes doigts qui viennent caresser le derrière de sa jambe encore nue alors qu’il essaye d’enfiler son boxer. « bouge toi. j’ai pas que ça à foutre. » qu’il siffle. tu ris sincèrement. tu peux pas t’en empêcher. « mais t’es pas muet ! putain je suis rassuré ! t’as une voix ! ta langue est juste coupée quand j’te baise en fait ? » tu lui demandes en se foutant ouvertement de sa gueule. tes doigts qui attrapent ton boxer. tu te rhabilles plus doucement que lui. t’es encore torse nu alors qu’il est déjà habillé. cheveux en bataille, joues rougies, yeux brillants. putain il est bien trop sexy. et pas du tout présentable. ton menton que tu diriges vers lui. « t’aurais pas dû te rhabiller si vite... papa va pas être content de voir si facilement que t’as pris ton pied. » tu insinues clairement qu’il a une tâche blanche et encore humide au niveau de son entrejambe. ce qui est faux seulement tu veux juste qu’il flippe, qu’il regarde et qu’il t’insulte. t’es un gamin, vio. tu te rapproches de lui. ton t-shirt tout froissé dans la main. tes doigts qui viennent frapper sa fesse juste pour le voir grimacer de douleur. « tu la sens la douleur en  bas de ton dos ? celle qui te brûle de l’intérieur ? suffisamment pour te faire boiter. » tu lui demandes en soufflant doucement. tes yeux plantés dans les siens. t’es bien trop satisfait de ce qu’il vient de se passer. beaucoup trop pour le laisser partir comme un voleur. « c’est pour que tu penses à moi, montaigu. c’est pour que tu te souviennes que j’t’ai baisé salement pour la seconde fois. et que tu le voulais complètement. » tu lui dis sèchement. t’as gagné. vous le savez tous les deux. t’enfiles ton t-shirt, tu attrapes la veste de serpent qui t’a permise d’entrer sans faire un scandale. « et maintenant tu sais que t’es le soumis au lit. » tu lui dis d’un ton plus léger. provocation, encore.

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. ✦ ⊹ Mer 28 Fév - 19:12 ⊹ ✦ .
c'est beaucoup trop d'un coup. de sensations, d'émotions, de plaisir, aussi. surtout de plaisir. tes jambes pas totalement assurées quand tu te redresses totalement. tu te pinces les lèvres, ses doigts qui effleurent l'arrière de tes cuisses. tu fermes les yeux quelques secondes et termines par t'éloigner un peu pour enfiler ton boxer. tu lui siffles de se bouger le cul, de se dépêcher. t'as pas que ça à foutre de ta journée, t'es même pas censé avoir disparu de cette manière, putain. mais t’es pas muet ! putain je suis rassuré ! t’as une voix ! ta langue est juste coupée quand j’te baise en fait ? tu te contentes de lui lancer un regard noir. il est vraiment puéril. tu te mords l'intérieur de la joue, te contentant de continuer de te rhabiller. et quand c'est fait, il est encore torse-nu. tu termines de boutonner ta chemise, la rentrant correctement dans ton pantalon. soupir au bout des lèvres, tes doigts passent vainement dans tes cheveux, te recoiffer serait une bonne idée, mais ça va être compliqué. alors tu fais ce que tu peux. t’aurais pas dû te rhabiller si vite... papa va pas être content de voir si facilement que t’as pris ton pied. tu baisses la tête par réflexe. mais évidemment, que ton costume est intact. tu lèves les yeux au ciel et soupires lourdement. t'es vraiment con. tu marmonnes simplement. tu l'observes se lever, sont -shirt à la main. il se rapproche de toi. sa main qui vient claquer ta fesse. douleur diffuse, tu te pinces les lèvres et t'empêches de trop grimacer. tu fronces légèrement les sourcils en l'observant. c'est vraiment un gosse, putain. tu la sens la douleur en bas de ton dos ? celle qui te brûle de l’intérieur ? suffisamment pour te faire boiter. c’est pour que tu penses à moi, montaigu. c’est pour que tu te souviennes que j’t’ai baisé salement pour la seconde fois. et que tu le voulais complètement. tu arques un sourcil et tu t'éloignes à peine de lui. le pire, c'est qu'il a raison. que c'était même pas censé arriver, ça. tu te pinces les lèvres. ferme la. t'es pas le putain de centre du monde, j'sens que dalle. tu marmonnes. faux, totalement faux. parce que y'a la brûlure dans le bas de ton dos. et maintenant tu sais que t’es le soumis au lit. douce inspiration, tu essayes de te calmer intérieurement. de ne pas lui foutre ton poing dans le nez pour le faire pisser le sang. j'te conseil de fermer ta gueule, hayes. et de dégager bien rapidement d'ici. tu grondes, menaçant. t'as pas envie d'entendre ce qu'il a à te dire. t'as pas envie de le voir, t'as juste envie qu'il foute le camp et t'as envie de te bourrer la gueule jusqu'à oublier cette soirée pendant les dix prochaines années à venir. tu manques un soupir, tu glisses une nouvelle fois tes doigts dans tes cheveux, essayant de les remettre en place tant bien que mal. t'es déjà en train de prier silencieusement pour que personne ne remarque cette absence inopinée et bien trop longue, en réalité. tu n'as aucune idée de combien de temps est passé.
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Vio Hayes
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. ✦ ⊹ Ven 2 Mar - 16:52 ⊹ ✦ .
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Laz& Vio


une victoire de plus face au montaigu. appréciable, jouissive. littéralement. son corps bien trop soumis à tes désirs et tes envies. le gosse qui a été emporté par ses propres hormones. il a cédé. gémissements qui ont été une douce mélodie alors que tu prenais possession de son corps de la meilleure façon. puis alors que tu te remets à peine de ton orgasme, tu le vois se redresser pour se rhabiller. bien trop pressé à ton goût. t’es pas du genre à exiger des caresses ou des baisers post-coït. tu préfères apprécier le bien-être qui en découle. calmement, paisiblement. mais tu sais que t’as rien à foutre ici. tu dois dégager rapidement. ils vont finir par chercher le fils prodige. bizarre qu’ils n’ont pas déjà soupçonné un kidnapping. ses parents sont probablement trop occupés à se bourrer la gueule pour se rendre compte qu’ils ont perdu un de leurs gosses. tu le provoques. tu joues avec ses nerfs et il fonce dedans. tête la première. il baisse la tête. tu sens la panique le gagner. rien, absolument rien. juste son pantalon dessoude bien trop sobre pour être à son image. « t’es vraiment con » tu pouffes doucement de rire, fier de ta connerie. beaucoup trop pour la maturité que tu es censé avoir à ton âge. tu te lèves. tu le suis. ton t-shirt encore dans la main. l’autre qui vient claquer contre sa fesse. réaction visible. retenue mais visible. tu sens qu’il a envie de grimacer. ça serait naturel. tu n’as pas été doux et tu as compris maintenant qu’il n’était pas encore habitué à cette douleur. elle deviendra vite familière. il s’éloigne légèrement de toi. comme pour garder ses pensées intactes. comme pour te résister de nouveau. « ferme la. t’es pas le putain de centre du monde, j’sens que dalle. »  qu’il marmonne. tu souris. juste ça. un simple sourire. parce-qu’il est de nouveau le montaigu contre qui tu te bats depuis des semaines. fier, insolent et menteur. impossible qu’il ne ressente rien. mais pour cette fois, tu le laisseras y croire. il déchantera bien rapidement dans quelques heures quand son bas du dos se réveillera violemment. tu te rhabilles à ton tour. t-shirt, veste, chaussures. une dernière provocation en cadeau. tu le pousses à bout. tu le vois. et tu t’attends presque à recevoir un pain ou une gifle. rien. t’es un peu déçu. probablement qu’il veut pas retourner à sa soirée avec un peu de sang sur les mains. «  j'te conseil de fermer ta gueule, hayes. et de dégager bien rapidement d’ici. » il gronde. tu le fixes quelques instants. tu te demandes lequel tu préfères. le silencieux et soumis ou le menaçant et violent. difficile à dire. tu passes devant lui. ta main qui claque de nouveau sur ses fesses. bien plus fort cette fois, tu en tireras probablement un couinement. tes doigts qui déverrouillent la porte sans l’ouvrir. tu le regardes. le sérieux qui reprend le dessus. « la prochaine fois, je veux mon couteau. et je m’en fous de savoir où tu le gardes. s’il faut j’irai le chercher moi-même. » t’es clairement frustré de repartir sans. t’as eu beau jouir et le voir dans la meilleure des postures, tu repartes poche vide. ton couteau toujours manquant. et ça te fait bien chier. « oublie pas d’utiliser ton cadeau, montaigu. » tu glisses en souriant avant de parcourir la foule. tête baissée, tu gagnes la porte d’entrée pour rentrer chez toi. dans l’est, bien loin des serpents.

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fin.
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